Témoignages
Jétais enceinte de ma deuxième fille
prévue pour début mai, quand en janvier je sens monter une
peur. Jétais affolée et cela menlevait tout plaisir
de grossesse qui par ailleurs se déroulait extrêmement bien.
Je savais que laccouchement en lui-même me faisait peur mais
il nétait pas normal dêtre submergée par
cette angoisse cinq mois avant léchéance. Il y avait
donc dautres raisons associées à cette panique, dautres
raisons inconscientes.
En consultant le docteur Issartel, jexplose en pleurs et des flots
dangoisse menvahissent. Je ne ma�trisais plus rien. Il me prescrivit
pour trois semaines, 1/2 heure par jour de musicothérapie et aucun
médicament compte tenu de ma grossesse. Dès quinze jours dHipérion,
toute angoisse avait disparu. Javais retrouvé mon plaisir et
ma sérénité.